CENTRE DE PREVENTIONS
DES RISQUES SISMIQUES
Istanbul (TUR)
Concours 2011
CENTRE DE PREVENTIONS
DES RISQUES SISMIQUES
Istanbul (TUR)
Concours 2011
Maître d’ouvrage : Ville d’Istanbul
Type de concours : international ouvert
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Virginie Pernot, Alice Dupin
Surface de plancher : 9800 m²
Coût : + de 20M€
Phase : concours 2011
Mission : complète
Programme : salles d’entraînement (secousses sismiques, pluies torentielles, fumées, incendies, etc.) planétarium, salles de conférences, bibliothèque, abri, cafés, restaurant, espace enfants, salles d’exposition
Crédits images : Alexandre Laclaverie
Maître d’ouvrage : Ville d’Istanbul
Type de concours : international ouvert
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Virginie Pernot, Alice Dupin
Surface de plancher : 9800 m²
Coût : + de 20M€
Phase : concours 2011
Mission : complète
Programme : salles d’entraînement (secousses sismiques, pluies torentielles, fumées, incendies, etc.) planétarium, salles de conférences, bibliothèque, abri, cafés, restaurant, espace enfants, salles d’exposition
Crédits images : Alexandre Laclaverie
Parce qu’elle est traversée par deux importantes failles tectoniques, la Turquie s’est donnée comme objectif de former sa population aux risques sismiques, notamment par la création d’un centre de prévention public doublé d’un centre de recherche. Le choix du site s’est porté à Istanbul dans une fine bande urbaine délaissée, située à la limite de la zone aéroportuaire et du quartier de Bakirköy qui y atteint ses limites spatiales de développement.
Outre son objectif de formation, le programme a également pour vocation d’être le marqueur de la reconfiguration urbaine de cette zone. Un symbole fort est donc attendu. Le projet s’articule selon des séquences qui permettent de ressentir les phénomènes en jeu, tout en explorant et en parcourant le cœur même de la matière.
Deux échelles de perceptions sont en jeu : le territoire et la matière. Le territoire : le parvis du projet est un vaste parc au sol fracturé et traversé par une fissure. Les deux niveaux de référence permettent une distribution séparée de l’accès public et des services. La matière : le bâtiment cubique – contenant symbolique – semble simplement flotter sur le sol en mouvement. Il impose au visiteur qui y entre un brusque changement d’échelle. Aussitôt ce dernier à l’intérieur, il se trouve dans l’amas rocheux qui incorpore l’ensemble des activités – contenu immersif.
Parce qu’elle est traversée par deux importantes failles tectoniques, la Turquie s’est donnée comme objectif de former sa population aux risques sismiques, notamment par la création d’un centre de prévention public doublé d’un centre de recherche. Le choix du site s’est porté à Istanbul dans une fine bande urbaine délaissée, située à la limite de la zone aéroportuaire et du quartier de Bakirköy qui y atteint ses limites spatiales de développement.
Outre son objectif de formation, le programme a également pour vocation d’être le marqueur de la reconfiguration urbaine de cette zone. Un symbole fort est donc attendu. Le projet s’articule selon des séquences qui permettent de ressentir les phénomènes en jeu, tout en explorant et en parcourant le cœur même de la matière.
Deux échelles de perceptions sont en jeu : le territoire et la matière. Le territoire : le parvis du projet est un vaste parc au sol fracturé et traversé par une fissure. Les deux niveaux de référence permettent une distribution séparée de l’accès public et des services. La matière : le bâtiment cubique – contenant symbolique – semble simplement flotter sur le sol en mouvement. Il impose au visiteur qui y entre un brusque changement d’échelle. Aussitôt ce dernier à l’intérieur, il se trouve dans l’amas rocheux qui incorpore l’ensemble des activités – contenu immersif.