COMPLEXE HÔTELIER
Courchevel 1850 (73)
Projet 2007-2009
COMPLEXE HÔTELIER
Courchevel 1850 (73)
Projet 2007-2009
Maître d’ouvrage : Bourne Capital
BET : Gleeds (généraliste)
Mandataire : TRAA
Architecte associé : TRAA
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Jeanne Mauvezin, Virginie Pernot, Benjamin Jungbluth
Surface de plancher : 12500 m²
Coût : + de 20M€
Phase : projet non construit
Mission : étude de conception
Programme : complexe hôtelier de luxe (95 chambres, 8 appartements, restaurant, salle de spectacle, discothèque, Spa), desserte ferroviaire
Crédits images : Virginie Pernot
Maître d’ouvrage : Bourne Capital
BET : Gleeds (généraliste)
Mandataire : TRAA
Architecte associé : TRAA
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Jeanne Mauvezin, Virginie Pernot, Benjamin Jungbluth
Surface de plancher : 12500 m²
Coût : + de 20M€
Phase : projet non construit
Mission : étude de conception
Programme : complexe hôtelier de luxe (95 chambres, 8 appartements, restaurant, salle de spectacle, discothèque, Spa), desserte ferroviaire
Crédits images : Virginie Pernot
L’implantation de ce complexe hôtelier au milieu des pistes et de la nature, à l’altitude la plus élevée de la station de Courchevel 1850, lui donne déjà un statut exceptionnel. L’ambition de son programme l’est tout autant : créer un pôle d’attractivité de très haute qualité qui puisse attirer et fidéliser les clients de toute la station. Pour cela, ce complexe hôtelier regroupe sur un seul lieu un hôtel 5 étoiles comprenant 95 chambres, 8 grands logements de très haut standing, un Spa, un restaurant étoilé, quelques boutiques de luxe et une discothèque. En raison des flux importants qui seront générés, il est également relié à la station de deux façons : par la création d’un tunnel routier, et par un train à crémaillère ayant pour terminus l’altiport.
La complexité du découpage parcellaire et la forte déclivité du terrain ont conduit l’agence à concevoir un projet organisé autour de deux niveaux de références qui distribuent tous les éléments du programme : le niveau de desserte et d’accès du tunnel, et le niveau symbolique de 1900 m d’altitude, véritable placette de haute montagne autour de laquelle sont directement accessibles tous les éléments du programme.
L’ambition d’implanter un projet d’architecture contemporaine, dans cette station qui souhaite habituellement voir se développer des projets d’architecture traditionnelle, a été une véritable gageure. Le parti a consisté à innerver depuis un socle en partie enterré un programme bâti visiblement décomposé, et qui reprend avec un vocabulaire contemporain la morphologie traditionnelle de l’architecture montagnarde.
L’implantation de ce complexe hôtelier au milieu des pistes et de la nature, à l’altitude la plus élevée de la station de Courchevel 1850, lui donne déjà un statut exceptionnel. L’ambition de son programme l’est tout autant : créer un pôle d’attractivité de très haute qualité qui puisse attirer et fidéliser les clients de toute la station. Pour cela, ce complexe hôtelier regroupe sur un seul lieu un hôtel 5 étoiles comprenant 95 chambres, 8 grands logements de très haut standing, un Spa, un restaurant étoilé, quelques boutiques de luxe et une discothèque. En raison des flux importants qui seront générés, il est également relié à la station de deux façons : par la création d’un tunnel routier, et par un train à crémaillère ayant pour terminus l’altiport.
La complexité du découpage parcellaire et la forte déclivité du terrain ont conduit l’agence à concevoir un projet organisé autour de deux niveaux de références qui distribuent tous les éléments du programme : le niveau de desserte et d’accès du tunnel, et le niveau symbolique de 1900 m d’altitude, véritable placette de haute montagne autour de laquelle sont directement accessibles tous les éléments du programme.
L’ambition d’implanter un projet d’architecture contemporaine, dans cette station qui souhaite habituellement voir se développer des projets d’architecture traditionnelle, a été une véritable gageure. Le parti a consisté à innerver depuis un socle en partie enterré un programme bâti visiblement décomposé, et qui reprend avec un vocabulaire contemporain la morphologie traditionnelle de l’architecture montagnarde.