19 LOGEMENTS SOCIAUX
& 1 ESPACE ARTISTIQUE
reinventer.paris
64 avenue Edison, Paris 13ème
Concours mai 2015
19 LOGEMENTS SOCIAUX
& 1 ESPACE ARTISTIQUE
reinventer.paris
64 avenue Edison, Paris 13ème
Concours mai 2015
Maître d’ouvrage : ICF La Sablière
BET : Yves-Marie Ligot (bois), Archimen (généraliste), Maurin Donneaud (artiste)
Mandataire : TRAA
Architecte associé : TRAA
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Marion Filliatre, Chloé Dawance
Surface de plancher : 1470 m²
Coût : 6,6 M€
Phase : concours mai 2015
Mission : complète
Programme : 19 logements sociaux familiaux et 160m² d’espace en RDC à vocation artistique
HQE : Qualitel H&E, profil A option performance; Effinergie+, Plan Climat Ville de Paris
Technique : construction en bois massif, isolation extérieure en laine de bois, façade en tissus lumineux faite d’un maillage de fibre optique, acier galvanisé et PVC
Crédits images : agence INUI
Maître d’ouvrage : ICF La Sablière
BET : Yves-Marie Ligot (bois), Archimen (généraliste), Maurin Donneaud (artiste)
Mandataire : TRAA
Architecte associé : TRAA
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Marion Filliatre, Chloé Dawance
Surface de plancher : 1470 m²
Coût : 6,6 M€
Phase : concours mai 2015
Mission : complète
Programme : 19 logements sociaux familiaux et 160m² d’espace en RDC à vocation artistique
HQE : Qualitel H&E, profil A option performance; Effinergie+, Plan Climat Ville de Paris
Technique : construction en bois massif, isolation extérieure en laine de bois, façade en tissus lumineux faite d’un maillage de fibre optique, acier galvanisé et PVC
Crédits images : agence INUI
L’habitat doit être source permanente d’innovation. C’est dans cette logique que nous avons participé au défi de «réinventer Paris». Tout en intégrant un processus innovant participatif ouvert aux riverains concernant les 19 logements locatifs sociaux, ce projet est porteur d’une dimension artistique forte et structurante, la façade est tissée suivant le processus de l’artiste Maurin Donneaud. De plus, nous avons choisi un mode de construction rapide et évolutif, un bâtiment en bois et en matériaux bio-sourcés, employant largement la préfabrication. Ceci assure alors une adaptabilité et une évolutivité, liée au rythme de renouvellement de la ville, ainsi qu’une flexibilité d’usages. Enfin, et à la fois en tant que support à l’élaboration de l’ensemble des concepts et en tant qu’outil de communication, nous poursuivrons ici l’innovation de la révolution numérique du bâtiment: le BIM.
Le projet s’inscrit dans la suite de la transformation de l’école de la meunerie en un conservatoire, et marque la fin de la chronologie d’une mutation parcellaire à vocation artistique. Le conservatoire Maurice Ravel, à l’arrière de la parcelle, est par essence un conteneur programmatique dédié aux arts musicaux et chorégraphiques, à leur apprentissage, à leur pratique, à leur représentation. Tout s’y passe au dedans. La dernière étape de la mutation urbaine doit consister en une révélation expressive de ce que sont ces activités artistiques aujourd’hui non perceptibles depuis l’espace public: activités qui se déroulent à la fois dans le conservatoire, dans l’espace artistique du projet, et dans le contexte urbain. Par sa volumétrie et son implantation, le projet peut et doit devenir une enceinte visuelle dont l’enveloppe réagit aux différentes ambiances sonores. L’enveloppe est l’oeuvre.
L’habitat doit être source permanente d’innovation. C’est dans cette logique que nous avons participé au défi de «réinventer Paris». Tout en intégrant un processus innovant participatif ouvert aux riverains concernant les 19 logements locatifs sociaux, ce projet est porteur d’une dimension artistique forte et structurante, la façade est tissée suivant le processus de l’artiste Maurin Donneaud. De plus, nous avons choisi un mode de construction rapide et évolutif, un bâtiment en bois et en matériaux bio-sourcés, employant largement la préfabrication. Ceci assure alors une adaptabilité et une évolutivité, liée au rythme de renouvellement de la ville, ainsi qu’une flexibilité d’usages. Enfin, et à la fois en tant que support à l’élaboration de l’ensemble des concepts et en tant qu’outil de communication, nous poursuivrons ici l’innovation de la révolution numérique du bâtiment: le BIM.
Le projet s’inscrit dans la suite de la transformation de l’école de la meunerie en un conservatoire, et marque la fin de la chronologie d’une mutation parcellaire à vocation artistique. Le conservatoire Maurice Ravel, à l’arrière de la parcelle, est par essence un conteneur programmatique dédié aux arts musicaux et chorégraphiques, à leur apprentissage, à leur pratique, à leur représentation. Tout s’y passe au dedans. La dernière étape de la mutation urbaine doit consister en une révélation expressive de ce que sont ces activités artistiques aujourd’hui non perceptibles depuis l’espace public: activités qui se déroulent à la fois dans le conservatoire, dans l’espace artistique du projet, et dans le contexte urbain. Par sa volumétrie et son implantation, le projet peut et doit devenir une enceinte visuelle dont l’enveloppe réagit aux différentes ambiances sonores. L’enveloppe est l’oeuvre.