14 LOGEMENTS SOCIAUX
2 rue de la Libération, Enghien-les-bains (95)
Réalisation 2013-2016
14 LOGEMENTS SOCIAUX
2 rue de la Libération, Enghien-les-bains (95)
Réalisation 2013-2016
Maître d’ouvrage : ICF Habitat La Sablière
BET : LGX (généraliste)
Mandataire : TRAA
BIM Management : TRAA
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Clara Ewald
Surface de plancher : 920 m²
Coût : 2,1 M€
Phase : livré 2016
Mission : complète
Programme : 14 logements sociaux, et 21 places de stationnement
HQE : Qualitel H&E, RT2012-10%,Effinergie
Crédits images : Atom Graphic
Maître d’ouvrage : ICF Habitat La Sablière
BET : LGX (généraliste)
Mandataire : TRAA
BIM Management : TRAA
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Clara Ewald
Surface de plancher : 920 m²
Coût : 2,1 M€
Phase : livré 2016
Mission : complète
Programme : 14 logements sociaux, et 21 places de stationnement
HQE : Qualitel H&E, RT2012-10%,Effinergie
Crédits images : Atom Graphic
Le projet se situe en coeur d’un îlot situé à proximité immédiate de la gare d’Enghien-les-Bains, et dans un contexte urbain constitué d’immeubles de qualité et de styles hétérogènes. Le bâtiment vient remplacer une maison datant des années 1960, d’un parking et de garages. Le parti urbain consiste en un travail de renaturation végétale par la mise en sous-sol de la majorité des places de stationnement et par la création d’espaces extérieurs largement végétalisés, y compris pour les circulations des véhicules.
Le bâtiment se veut être un condensateur qui vient dynamiser le coeur d’îlot, aujourd’hui atone et sans réelle tenue. La volumétrie du bâtiment a été soigneusement travaillée de façon à casser les codes du bâtiment de logement parallélépipédique. Les cinq niveaux sont regroupés derrière un bardage en aluminium localement microperforé, et selon des pans de façades légèrement inclinés.
Le projet se situe en coeur d’un îlot situé à proximité immédiate de la gare d’Enghien-les-Bains, et dans un contexte urbain constitué d’immeubles de qualité et de styles hétérogènes. Le bâtiment vient remplacer une maison datant des années 1960, d’un parking et de garages. Le parti urbain consiste en un travail de renaturation végétale par la mise en sous-sol de la majorité des places de stationnement et par la création d’espaces extérieurs largement végétalisés, y compris pour les circulations des véhicules.
Le bâtiment se veut être un condensateur qui vient dynamiser le coeur d’îlot, aujourd’hui atone et sans réelle tenue. La volumétrie du bâtiment a été soigneusement travaillée de façon à casser les codes du bâtiment de logement parallélépipédique. Les cinq niveaux sont regroupés derrière un bardage en aluminium localement microperforé, et selon des pans de façades légèrement inclinés.