74 LOGEMENTS SOCIAUX
& 3 COMMERCES
Un hommage à Pierre Soulages
124, rue de Saussure, Paris 17ème
Réalisation 2015-2018
Projet nommé au prix de l’Equerre d’Argent en 2018
Lauréat des Iconic Design Awards en 2019
Nommé aux ADC Awards 2019
Lauréat d’un Bim d’Argent en 2018
74 LOGEMENTS SOCIAUX
& 3 COMMERCES
Un hommage à Pierre Soulages
Projet nommé au prix de l’Equerre d’Argent en 2018
Lauréat des Iconic Design Awards 2019
Nommé aux ADC Awards 2019& 3 COMMERCES
124, rue de Saussure, Paris 17ème
Réalisation 2015-2018
Lauréat d’un Bim d’Argent en 2018
Maître d’ouvrage : ICF Habitat La Sablière
Architecte : TRAA
BET : Tekhné (généraliste)
Entreprise : Legendre Construction (entreprise générale)
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Marion Filliatre
Surface de plancher : logements 5190 m² et commerces 520 m²
Coût : 9 130 k€
Phase : livré en avril 2018
Mission : complète, conception-construction
Programme : 74 logements sociaux, 480m² de commerce et 51 places de stationnement
Technique : façade en béton autonettoyant, matricé, teinté dans la masse
HQE : Qualitel H&E, profil A option performance, Effinergie+, Plan climat ville de Paris
Crédits images : Antoine Houot, Thibaut Robert
Maître d’ouvrage : ICF Habitat La Sablière
Architecte : TRAA
BET : Tekhné (généraliste)
Entreprise : Legendre Construction (entreprise générale)
Équipe TRAA : Thibaut Robert, Marion Filliatre
Surface de plancher : logements 5190 m² et commerces 520 m²
Coût : 9 130 k€
Phase : livré en avril 2018
Mission : complète, conception-construction
Programme : 74 logements sociaux, 520 m² de commerce et 51 places de stationnement
Technique : façade en béton autonettoyant, matricé, teinté dans la masse
HQE : Qualitel H&E, profil A option performance, Effinergie+, Plan climat ville de Paris
Crédits images : Antoine Houot, Thibaut Robert
Situé sur le dernier lot libre de la ZAC Clichy Batignolles, du côté Est du faisceau de la gare Saint-Lazare, ce projet de logement doit répondre à une double problématique : créer des liens visuels, des jours urbains à travers la séquence construite de la rue, tout en s’intégrant architecturalement au sein de ce tissus hétéroclite, contemporain et haussmannien à la fois.
Cette ambition se cristallise autour d’une intention forte et structurante : créer une extrusion d’une masse de matériau brut de sept étages, formant une couture urbaine. Le socle se fend de deux passages, en double hauteur, entre la rue et le jardin, laissant aux passants des respirations visuelles dans la séquence urbaine ; et à l’habitant un confort d’usage des parties communes. Cette extrusion s’interrompt au cinquième étage par des terrasses, et le projet se termine ainsi en trois émergences, délivrant des horizons aux bâtiments voisins.
Cette masse de béton gris foncé, matricée, est facettée. Elle s’avance telle des proues dans le jardin, précisément travaillées pour ouvrir des angles de vue plus riches pour tous les logements, éviter les rapports frontaux avec les autres édifices, proposer des perspectives, libérer du ciel…
Enfin, l’agence souhaitait proposer un projet qui s’inscrive dans la continuité des immeubles récents, par sa teinte, sa composition, sa contemporanéité ; mais aussi en cohérence avec le tissu haussmannien dans la séquence verticale de la composition de la façade, et dans le travail des matériaux purs et appareillés. Les façades sont en béton teinté dans la masse, non revêtu, et composées selon des strates matricées horizontales, travaillées par l’agence en hommage à Pierre Soulages.
Situé sur le dernier lot libre de la ZAC Clichy Batignolles, du côté Est du faisceau de la gare Saint-Lazare, ce projet de logement doit répondre à une double problématique : créer des liens visuels, des jours urbains à travers la séquence construite de la rue, tout en s’intégrant architecturalement au sein de ce tissus hétéroclite, contemporain et haussmannien à la fois.
Cette ambition se cristallise autour d’une intention forte et structurante : créer une extrusion d’une masse de matériau brut de sept étages, formant une couture urbaine. Le socle se fend de deux passages, en double hauteur, entre la rue et le jardin, laissant aux passants des respirations visuelles dans la séquence urbaine ; et à l’habitant un confort d’usage des parties communes. Cette extrusion s’interrompt au cinquième étage par des terrasses, et le projet se termine ainsi en trois émergences, délivrant des horizons aux bâtiments voisins.
Cette masse de béton gris foncé, matricée, est facettée. Elle s’avance telle des proues dans le jardin, précisément travaillées pour ouvrir des angles de vue plus riches pour tous les logements, éviter les rapports frontaux avec les autres édifices, proposer des perspectives, libérer du ciel…
Enfin, l’agence souhaitait proposer un projet qui s’inscrive dans la continuité des immeubles récents, par sa teinte, sa composition, sa contemporanéité ; mais aussi en cohérence avec le tissu haussmannien dans la séquence verticale de la composition de la façade, et dans le travail des matériaux purs et appareillés. Les façades sont en béton teinté dans la masse, non revêtu, et composées selon des strates matricées horizontales, travaillées par l’agence en hommage à Pierre Soulages.